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Les élèves de l’école de Romanèche-Thorins étaient formés à cet art du tracé.
Pierre-François Guillon avait défini cent vingt-deux cours dessinés à l’encre de chine noire sur de grandes feuilles de papier blanc, des explications sur chacun d’eux permettaient d’aider à l’exécution du tracé. Chaque cours réalisé par les élèves était corrigé, expliqué puis le tampon de l’école était apposé sur le dessin appelé épure.